jeudi 16 avril 2009

synthèse écrite

SYNTHÈSE DES APPRENTISSAGES
Partie écrite
Pour moi, la section écrite à toujours été plus complexe que la section parlé. Donc, j’ai à la fois plus appris mais aussi plus de chemin à faire à ce niveau. J’écris beaucoup, beaucoup mais sans conventions et sans structure toute définie mais je ne suis pas en train d’écrire un second texte argumentatif donc je vais simplement dire que je préférerais vachement seulement être évaluée sur mon parlé. Revoir la structure d’un texte m’a quand même permis de me remettre dans la tête les conventions de l’écriture traditionnelle. J’ai aussi revu quelques erreurs que je faisais souvent en écrivant et je crois maintenant être en voie de ne plus les faire. J’ai aimé particulièrement m’arrêter aux différences entre le français écrit et le parlé car il y a effectivement de grosses différences entre les deux et être consciente de ce fait m’aurait été très utile si j’avais enseigné le français. Malheureusement, ce n’est pas le cas mais je garde en tête que je pourrais enseigner ces mêmes faits à mes enfants. La phonétique à aussi été vraiment bénéfique à aborder puisqu’il est facile de faire des fautes en se fiant à la prononciation d’un mot. Redécouvrir la forme des mots et leurs fonctions était aussi quelque chose de bien puisque ces informations sont très loin dans ma tête. De plus, la grammaire a changé et comprendre les nouvelles appellations est extrêmement importante pour aider les jeunes et leur permettre de progresser. J’ai particulièrement aimé et appris lorsque nous avons parlé des anglicismes et des différents registres de langue car ils font parties de la vie de tous les jours et tout le monde en prononce une quantité incroyable. J’ai enfin revu la différence entre le discours familier et populaire, quelque chose que je ne me rappelais vraiment plus. Populaire, comme le mot l’indique est directement lié à la norme populaire et à la société qui essaye constamment de se démarquer. C’était vraiment pertinent de remonter aux sources lorsqu’on parle du Québécois et de se remémorer que les amérindiens habitant jadis nos terres ont contribués à construire notre langage. J’ai moins apprécié me rappeler du fameux livre écrit par George Dor qui nous rappelle à quel point un auteur peut être pessimiste.
Je crois que ce que j’ai appris de plus important, en repassant toutes ces règles de français et en me remémorant toute cette information, que j’avais encore du travail à faire dans mon parlé pour arriver à une perfection ou du moins, à un standard désiré par les professeurs de français. Je vois de plus en plus l’importance de bien s’exprimer et d’être capable de bien faire valoir sa langue. J’ai compris que certaines expressions sont à éviter dans un texte et que retravaillé un texte nous aide à reformuler les phrases qui sont plus ou moins grammaticale pour en faire un tout plus intéressant et équilibré à lire.
Donc, je dois m’assurer de travailler fort pour obtenir une meilleure cohérence textuelle et réfléchir aux expressions que j’utilise dans mes textes. De plus, je crois que la méthode de correction que nous avons vue en classe va m’aider à réviser mes propres textes.

synthèse partie orale

SYNTHÈSE DES APPRENTISSAGES
Partie orale
J’ai bien apprécié la partie discussion du cours car j’ai pu me familiariser premièrement avec des sujets qui vont peupler ma prochaine vie d’enseignante mais aussi parce que j’ai grandement cheminé dans mon langage verbal. Le plus dur reste quand même éviter l’usage de mots familiers comme « pis », « yé », « tsé », « là » mais l’important est que maintenant je m’aperçois que j’utilise ces mots et que j’essaie de réduire leur usage ou du moins de m’auto-corriger quand je les prononce. Je crois que cet aspect a été bénéfique puisque je pense un peu plus avant d’utiliser des termes de ce genre et je m’intéresse à trouver des marqueurs de relation pour les remplacer. Le reste du langage soutenu est de plus en plus facile pour moi à utiliser. J’arrive très bien à aller piger dans ma tête des mots plus appropriés et des expressions un peu plus songées. Je pense même que mon vocabulaire a grandement été amélioré en raison que je devais me forcer pendant les discussions pour avoir un bon parlé. J’ai aussi compris que la clé pour bien s’exprimer, c’est surtout de rester naturelle car quand on se lance dans des accents ou quand on pense TROP avant de parler, le discours en est la plus part du temps moins compréhensible et moins vrai pour les auditeurs. Déjà vers la fin du trimestre, j’ai développé une faculté de me corriger quand je faisais des erreurs et pour moi c’est un très grand point à avoir. Donc dans mes compétences linguistiques, j’ai réussit à parfaire mon vocabulaire, à améliorer ma prononciation et à placer des pauses entre mes idées pour donner le temps au gens de bien comprendre et également, pour réussir à exprimer correctement ce que j’avais à dire. Le ton de voix est aussi quelque chose que je trouve important mais grâce à quelques années dans les camps de jours, j’ai pu m’habituer à parler fort pour bien me faire entendre des lieux où le bruit est diffus. Mes faiblesses, expliquées un peu plus haut, sont des choses pour lesquelles j’ai toujours eu une certaine difficulté mais en voyant mon cheminement, je suis prête à redoubler d’ardeur. Je suis consciente, par contre, que plusieurs éprouve de la difficulté avec l’utilisation de mots comme ceux là. Pour ce qui est des compétences discursives, je suis quelqu’un qui aime partager son opinion ce qui facilite déjà les choses. J’aime apporter mon grain de sel et donc partager mes expériences et m’engager dans le sujet. J’ai donc pu partager mon savoir. Parfois, par exemple, je n’avais pas lus les textes, ce qui rendait les exemples difficiles à aller chercher dans ma tête. C’est sûrement dans cet aspect que je me suis moins amélioré car j’avais déjà une certaine envie de discuter et de partager mes connaissances. Les compétences communicatives sont un autre des aspects positifs que j’ai pu relever et travailler chez moi. Je gesticule beaucoup et je sais que cela peut devenir quelques fois déstabilisant pour le « public ». Je dois donc encore travailler pour diminuer l’intensité de mes gestes, ce qui risque d’être plutôt difficile. À part ce fait, mon niveau de langue à évolué de cours en cours et j’ai pu déverser toute ma passion et mon expressivité que j’avais pour certains sujets. Je dois, par exemple, faire attention à ne pas mettre mes mains devant ma bouche quand je parle ou quand je pense puisque les gens ne peuvent pas bien comprendre ou même, si un sourd serait mon observateur, il ne pourrait pas faire de lecture labiale.
En gros, je crois que j’ai trouvé beaucoup de forces chez moi pour la discussion mais aussi des points à travailler. J’ai quand même évolué d’une façon très satisfaisante en gardant dans l’esprit que dans mon emploi futur, je vais devoir montrer l’exemple à mon tour et guider mes élèves dans ce parlé francophone. J’ai aussi adoré travailler avec les gens avec qui j’étais qui sont des gens avec des convictions très positives et avec des qualités de locuteurs également très fortes. Ce qui était vraiment bien c’était non seulement de voir ses propres évolutions mais aussi celles des autres qui nous motivaient à faire attention à notre tour. En observant les autres, j’ai beaucoup appris sur ce que je projeter comme image ou ce que je lançais comme message. Bref, une belle expérience ces discussions.

jeudi 29 janvier 2009

discussion sur la dyslexie

Cette deuxième discussion a été, encore une fois, très agréable et certains aspects du sujet, comme la mention de la prise du ritalin à suscité en moi un très grand intérêt. En raison de cela, j'ai pris grand plaisir à donner mon opinion et à être le plus expressive que je pouvais. J'ai encore fait l'utilisation de certains mots clés comme "y" "tsé" et j'ai confondu le "nous" et le "on". J'ai également tendance à mettre ma main proche de ma bouche quand je parle, signe que les grands penseurs utilisent encore aujourd'hui mais ce signe a pour effet de couper ma voix lorsque je parle donc je dois éviter cette manifestation de sagesse. Pour conclure, j'ai su poser des questions qui alimentaient le débat et j'en suis très fière.

À la prochaine, dans nos cours gang (traduction française : Groupe )

mercredi 28 janvier 2009

Discussion sur la langue Française pendant le clavardage

Cette discussion était très intéressante et le sujet a facilité l'expression puisqu'il est ancré dans notre réalité. Bon durant cette activité, je me suis un peu surprise au début à faire attention à ma prononciation et à formuler mes phrases avant de les dire, ce qui est différent de mon parlé de tous les jours. Heureusement, cette lenteur inhabituelle a été renforcée par mon intonnation de voix permettant de mettre l'emphase sur certaines opinions. Coté vocabulaire, j'éprouve encore quelques difficultés à ne pas utiliser les mots "pis" et "pus", d'ailleurs d'éliminer ces mots de notre vocabulaire est un défi que l'équipe s'est donné. Le rôle d'animatrice m'a permis même de mettre à profit certaines aptitudes comme reprendre certains commentaires de mes collègues pour les reformuler ou simplement, poser des questions pour faire avancer le débat. Coté communication, j'ai toujours aimé participer à des discussion et donner mon avis donc j'ai réussit à faire valoir mes points tout en écoutant les autres.

vendredi 9 janvier 2009